Pré-requis :
Parlez calmement sans hausser le ton. Crier sur un enfant en colère ne sert à rien.
Mettez-vous au niveau de votre enfant dans une attitude bienveillante (baissez-vous).
Si la crise de colère est intense, tenez-le fermement contre vous afin qu’il ne se blesse pas. De plus, ce contact l’apaisera au bout d’un moment.
Les phrases à dire :
Elles sont basées sur des preuves d’attention, de l’empathie et de l’écoute bienveillante.
« Je vois que tu es en colère. Tu veux bien me dire ce qui se passe ? »
« Cela te blesse lorsque [décrire la situation]. Je comprends. Je suis là pour t’écouter. On se sent mieux lorsqu’on en a parlé. »
« Oui, cela est frustrant quand [décrire la situation]. Je te comprends. Comment puis-je t’aider à te sentir mieux ? »
« Tu dois avoir une bonne raison pour te mettre en colère. Je pourrais t’aider si tu m’en parles. »
« Je ne parviens pas à me concentrer lorsque tu cries ainsi. Peux-tu parler normalement s’il-te-plait ? »
« J’ai remarqué que tu avais claqué la porte. Tu as l’air énervé. Que se passe-t-il ? »
« J’ai confiance en toi. Je sais que tu vas trouver une solution pour sortir de cette colère. Je suis là pour t’écouter si tu as besoin. »
« Je me sens triste de te voir aussi énervé. J’aimerais pouvoir t’aider. Dis-moi ce que je peux faire. «
« Tu étais très en colère n’est-ce pas ? Je comprends que tu sois en colère mais jeter et mordre ne permettent pas de trouver des solutions, au contraire, cela nous en éloigne. Parler oui. »
« Te souviens-tu la dernière fois où tu as surmonté cette grosse colère quand [décrire la situation]. Comment as-tu fait ? »
Source : papapositive.com